Dans les zones tendues, les prix peuvent monter jusqu’à l’irrationnel selon Jean-Philippe Crouau, Côté Particuliers
Qu’apportez-vous à vos affiliés ?
Une organisation, un back office, une plateforme marketing, un intranet, une méthode de commercialisation, et beaucoup de transparence, pour une redevance fixe inférieure à 1 000 euros/mois.
Et pour les clients : des frais réduits pour leur achat et des économies à réaliser grâce à notre service de conciergerie.
Le marché immobilier très dynamique que nous connaissons actuellement doit être favorable au déploiement de votre réseau ?
Absolument, il a progressé de 100 % en deux ans ! Nous comptons désormais 80 agences.
Le marché continue de progresser ?
Oui, dans les grandes métropoles. On constate même une pénurie de biens. Donc ils se vendent très vite.
Qu’est ce qui marque ce développement actuel du marché immobilier ?
Sa disparité très importante. À Paris, les acheteurs se précipitent, alors qu’à Tarbes, on cherche des acquéreurs.
Et les prix ?
Tout dépend des endroits. Dans les zones tendues, voire très tendues, ils peuvent monter jusqu’à l’irrationnel. Ailleurs l’augmentation reste raisonnable.
Quel pourcentage d’investisseurs dans votre activité ?
C’est une population qui a faim d’investir. Ils ne veulent plus de la Bourse et veulent profiter des taux bas. Dans notre clientèle, ils sont entre 15 et 20 %.
Et quel pourcentage de primo accédants ?
Autour de 20 à 25 %.
Les taux commencent-ils à remonter ?
Pas pour le moment, non. On n’a rien constaté de tel.
Quel pourcentage de neuf dans votre activité ?
Environ 10 %
Avez-vous des partenariats avec d’autres professionnels de l’immobilier ?
Oui, avec le courtier Cafpi.
Même si l’euphorie actuelle se tasse, vous croyez en l’avenir des agences immobilières ? L’immobilier touche à un besoin essentiel et l’agence est un métier de proximité, de contact, qui a beaucoup d’avenir !