Mandataire au sein du réseau immobilier Safti, Julie Möller accompagne ses clients, vendeurs, acheteurs et investisseurs de A à Z. Elle revient pour nous sur les dernières tendances immobilières dans la Creuse.
Pouvez-vous vous présenter ?
L’immobilier m’attire depuis un moment. Il y a 2 ans, je me suis installée dans la Creuse avec ma famille. C’est à ce moment qu’est née l’envie de trouver une activité qui m’offre plus de liberté et me permette de passer plus de temps avec ma famille. À deux reprises, le hasard m’a amenée vers Safti. La première, c’était en Martinique, où je vivais depuis 10 ans : un conseiller Safti a vendu notre maison en une semaine. La seconde, c’était en France, lors de l’achat de notre maison. C’est également un conseiller Safti qui nous a aidés à trouver la perle rare. C’était un signe… C’est donc le réseau auquel je me suis affilée pour lancer mon activité.
J’ai la chance d’être indépendante, mais pas seule. Le réseau est présent à tout moment, que ce soit à travers les formations ou les échanges avec les autres membres, notamment les plus expérimentés qui partagent de bons conseils.
Au début, le plus difficile a été d’oser aller vers les propriétaires pour me faire connaitre. Au fil du temps, la confiance est née. Je suis très transparente avec mes clients, qu’il s’agisse de vendeur ou d’acheteur. Je leur donne toutes les informations dont je dispose. Si je ne sais pas, je le dis et je me renseigne. Une autre valeur importante à mes yeux est l’écoute : chaque projet de vente ou d’achat est unique.
Quel est votre secteur d’intervention ?
Je peux me déplacer dans toute la Creuse, mais j’interviens principalement à Guéret, la Chapelle-Taillefert et les alentours. Les différents confinements ont entrainé un engouement pour la Creuse. Les gens ont ressenti un besoin de verdure, or la Creuse, c’est l’idéal pour ça ! Il y a donc beaucoup de demandes de personnes extérieures au département qui cherchent des résidences secondaires, mais aussi des résidences principales, parce que maintenant, ils peuvent travailler à distance.
De plus, la Creuse essaye d’appâter les acheteurs pour qu’ils viennent y habiter. Le département compte énormément de maisons vides, de maisons à réhabiliter.
Quels conseils donneriez-vous à un acheteur ?
Je leur conseille de prendre le temps, de se projeter sur le long terme. Je refuse de faire des offres le jour même, je propose toujours une contre-visite, afin d’être certaine qu’ils comprennent bien tout le dossier. Je leur donne un maximum d’information sur le bien : les qualités, mais aussi les défauts.
Pour un investisseur, l’approche est un peu différente puisqu’ils ne portent pas le même regard sur le bien. Ce qu’ils veulent, c’est le rapport locatif le plus élevé possible.
J’ai beaucoup de demandes d’investisseurs de Limoges, qui est à une heure de route, parce que chez eux, le marché commence à être bloqué, et certains biens sont hors de prix.
Et aux vendeurs, que lui conseilleriez-vous ?
De me faire confiance, je vais faire au mieux pour vendre leurs biens. Pour cela, j’ai besoin de discuter avec eux, de comprendre pourquoi ils vendent, de savoir s’ils sont pressés ou non… Aucun dossier ne ressemble à un autre.
Je les accompagne au mieux, j’essaye de leur expliquer comment les choses se passent. Ils doivent juste me confier leur bien, je m’occupe de tout gérer. S’il faut entreprendre des démarches particulières auprès de l’urbanisme ou de certains professionnels, je m’en charge. Mon objectif est de leur proposer un service où ils n’ont rien à faire, juste à lire mes comptes-rendus.
Que désirez-vous ajouter ?
J’essaye d’être à l’écoute de mes clients, que ce soit les vendeurs ou les acquéreurs, de faire en sorte de faciliter tout le dossier. C’est quelque chose qui me tient vraiment à cœur. Je suis vraiment présente pour eux. Je préfère mettre en avant la qualité plutôt que la quantité. J’essaye de les accompagner du début jusqu’à la fin. C’est la raison pour laquelle je n’ai pas nécessairement beaucoup de dossiers.