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Elisabeth a trouvé un 3 pièces dans son quartier préféré de Nice
Publié le 15 juin 2018
Élisabeth, une jeune femme dynamique, et Elfie sa fille, sont passées d’une maison au fond d’une petite rue calme de village à un 3 pièces en plein Nice. Après pas mal de recherche, elles ont fini par trouver leur rez‑de‑jardin tant souhaité ! Témoignage.
Élisabeth vivait avec son compagnon et sa fille dans un village entre Cannes et Grasse, loin de l'agitation de la ville. Suite à leur séparation, Élisabeth se voit obligée de retrouver un logement.
Elle commence ses recherches en novembre. Élisabeth, qui ne travaille pas à ce moment-là, a du temps à y consacrer. Tous les matins, elle épluche les nouvelles annonces de quelques agences immobilières qu’elle a soigneusement sélectionnées.
Les critères de recherche - Appartements avec 2 chambres pour elle, sa fille Elfie, 11 ans, et leur petit chien, - à Nice, secteur calme, - un extérieur (grande terrasse ou rez-de-jardin), - collège ou transports à proximité.
Apprendre à lire entre les lignes d’une annonce
Elisabeth fait une quinzaine de visites, pas plus. Sa recherche est très précise, et le critère de rez-de-jardin est forcément limitatif.
« Je me suis rendue compte que le calme était très relatif, suivant qu'on se plaçait selon mes critères ou ceux d’un agent immobilier habitant le centre de Nice. Je recherchais un endroit vraiment calme, sans bruit de circulation, de tram ou autre.»
Alors pour chaque annonce dont elle a l’adresse, elle vérifie les environs sur Mappy au moyen de la navigation à 360 °.
Un 1er appartement qui lui échappe
Elle a un coup de cœur lors d’une visite pour un appartement de 85 m2 avec terrasse, situé en plein Cimiez, à Nice. L’appartement est affiché au prix de 280 000 € dans une agence, et à 265 000 € dans une autre. Il nécessite beaucoup de travaux mais ça ne lui fait pas peur, bien au contraire.
« Les travaux, c’est mon truc. L’appartement était habitable et je pouvais les faire au fur et à mesure ».
Après réflexion, elle décide de faire une offre à 250 000 € et… récolte une fin de non-recevoir de la part du vendeur !
Les jours passent. Élisabeth repense sans cesse à l’appartement, commence à faire des plans, à chiffrer des travaux et envisage de refaire une offre. Le bien est sur le marché depuis 8 mois, elle se dit que rien ne presse. Mais quand elle reprend contact avec l’agent immobilier, patatras ! l’appartement a été vendu ! Pour Élisabeth qui s’y voyait déjà, le coup est rude.
Le choix de la raison
Mais la jeune femme ne se laisse pas démoraliser longtemps et continue ses visites. Un jour, elle visite un appartement « moche comme tout », dans une grosse résidence récente : 66 m2, 295 000 € affichés, terrasse, cave et parking.
Certains éléments lui plaisent : situé sur la colline de Cimiez, c’est un rez-de-jardin avec une terrasse de 30 m² d’où on entend des oiseaux, avec une glycine et même un citronnier qui donne des citrons !
L’appartement a aussi des inconvénients qui auraient été éliminatoires en d'autres circonstances, comme la cuisine séparée qu’il est impossible d’ouvrir sur le salon, un agencement pas du tout à son goût ou une exposition au nord. Mais Élisabeth a été échaudée par sa première expérience et ne veut plus voir les biens lui passer sous le nez.
L’appartement est sous compromis, mais coup de chance, ce dernier est rompu. Elle demande à revisiter. Son cœur balance encore mais la glycine est en fleur, les oiseaux chantent encore plus fort, alors c’est décidé, elle fera une offre.
Entre-temps, elle a mené une enquête de voisinage et a eu confirmation de la qualité de vie et du calme (tant recherché) de la résidence. Elle s’est aussi assurée qu’elle n’aurait pas de mal à le revendre.
Un budget serré mais suffisant
Élisabeth a un budget serré : 305 000 € tout compris, frais d’agence et frais de notaire inclus. Ce sont ses économies, elle ne veut pas emprunter. En accord avec l’agent immobilier, elle fait une offre à 284 000 € (soit 11 000 € de moins que le prix affiché), et l’offre passe ! Le compromis est signé 15 jours plus tard grâce à l’efficacité de l’agent immobilier.
En définitive, Élisabeth est bien contente. L’objectif de trouver un appartement dans un quartier qui lui plaît, et proche d’un bon collège, est rempli. Et même si l’appartement est loin de son idéal, il est en bon état et habitable immédiatement. Elle se voit bien y rester 5 ou 6 ans avant de partir à la recherche d’un bien qui lui correspondrait plus.
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