Où sommes-nous
Aire-sur-l’Adour. Le nom même de cette ville glisse sur la langue comme une promesse de douceur, une sérénité de province. Elle s’étire, sans emphase, à la frontière du Gers et des Landes, sa rivière serpentant tranquillement, indifférente aux préoccupations humaines.
Les maisons, posées là comme des témoins du temps, la bordent en silence. Ici, la vie semble s’épanouir sous un ciel plus vaste, plus pur. C’est ce parfum d’authenticité qui l’enveloppe.
La maison se dresse sur les hauteurs au milieu de son jardin arboré, admirant la campagne environnante. Un endroit paisible où les arbres semblent murmurer des secrets que l’on ne prend même pas la peine de percer.
L'architecture ? Elle s'affiche, sans complexes. Fière dans son caractère, indifférente aux modes, elle exhibe ses façades hautes et ses fenêtres qui s’ouvrent avec une déférence infinie vers l’extérieur.
C’est une maison de dignité, de distinction, un brin décalée.
Les décorations murales sont un clin d’œil à un autre temps. Des frises en briques, des galets en chevrons comme des motifs d’une broderie ancienne. Et puis ce petit toit, là, qui chapeaute une ouverture avec la grâce d’une coiffeuse qui a trop d’élégance pour en avoir l’air. Elle est chic, un peu comme une robe de couturier qui a beaucoup à dire. C’est cette incongruité qui la rend encore plus fascinante. Un paradoxe suspendu dans le temps.
L’intérieur
Pas d’élégance sans talons ! La maison se tient sur la pointe des pieds. Il faudra donc monter quelques marches pour arriver à un perron couvert, car on ne laisse pas ses invités attendre sous la pluie.
Une solide porte en chêne s’ouvre sur l’entrée. On découvre alors un escalier comme on n’en fera plus. A la fois massif et aérien, il s’envole en volutes facétieuse vers les étages, sous la bienveillance lumineuse de grandes fenêtres.
Avant de monter, visitons le rez-de-chaussée. Du parquet blond, des rosaces au plafond, une cheminée en marbre qui aurait raconté plus d’une histoire si les murs pouvaient parler. La salle à manger et le salon se côtoient sans se bousculer, séparés par une porte vitrée au décor audacieux. Une ample ouverture en arc de cercle inonde les repas de lumière, emporte le regard vers l’extérieur, sur la piscine, les arbres, la campagne, la rêverie.
La cuisine est vaste, pratique. On y dine à la bonne franquette, on s’y retrouve pour le petit déjeuner. On grille une viande dans la cheminée.
Les étages
Empruntons ce bel escalier en chêne pour arriver au premier étage, simple, sans prétention. Trois chambres, un grand palier, une salle de bain, des toilettes. Rien qui dépasse.
Le second étage, lui, se fait plus discret encore, avec deux chambres, une salle d'eau et un grenier assez vaste pour y entasser tout ce dont on ne veut pas se séparer.
Le jardin
D’un peu plus de 4000m2, il entoure la maison de verdure et d’arbres de différentes essences, tilleul, pin parasol, chêne.... La piscine en est la pièce maitresse, avec sa forme de gros poisson. De taille généreuse, elle s’insère avec harmonie dans le paysage.
Nous trouvons aussi une dépendance d’une cinquantaine de mètres carrés. Elle abrite la partie technique de la piscine et sert aussi d’atelier et de garage.
L’avis de Bliss
Les escaliers de bois, les fenêtres qui s’ouvrent sur des vues campagnardes que l’on n’a jamais envie de quitter. Dans cette maison, il n’y a pas de décorations superflues, pas de fausses promesses. Juste des gestes simples, un confort ancien, qui dit l’intemporalité avec une modestie parfaite. C’est cela, sans doute, qui fait toute la beauté du lieu.
Sa situation geŽographique est appreŽciable car au carrefour de deux belles reŽgions , l' Aquitaine et l’Occitanie.
Aire sur l'Adour est desservie par l'autoroute, sur l'axe Bordeaux - Pau . De ce fait, le littoral landais et le pays basque ainsi que les PyreŽneŽes sont rapidement accessibles. Bordeaux peut-e^tre rejointe facilement, les aeŽroports aussi.
En reŽsumeŽ, les avantages d’une demeure de ville tout en vivant dans un environnement 'comme a` la campagne'.